de 2007 à 2010
en 2010
Les expositions et ateliers « distractions »
L’Atelier gravure avec Marie Christine Bourven
L’Atelier « Distractions » avec Marie-Hélène Bourven au Cafégem et Exposition « Distraction » avec le groupe du Secours Catholique – antenne des Châtillons, se sont investis dans la préparation de l’exposition commune « Distractions » autour de l’œuvre de Zwy Milshtein …Voir Plus…
Visite des exposition « Vent d’Est, vent d’Ouest »
Dans le cadre des ateliers de la culture organisés en juin 2010, deux ateliers, autour des expositions « Vent d’est – Vent d’ouest » consacrées à Zwy Milshtein au Palais du Tau et à l’Ancien Collège des Jésuites, ont permis aux adhérents du Cafégem et au groupe du Secours Catholique – antenne Châtillons, de découvrir l’œuvre exceptionnelle de cet artiste originaire de Moldavie, à travers le regard et le savoir-faire de Marie-Christine Bourven, artiste graveur.
« Distractions » Exposition autour de l’œuvre de Zwy Milstein avec Marie-Christine Bourven, artiste-graveur, accompagné par Bernard Weber et Laurence Bastin en collaboration avec les adhérents du Cafégem
et du Secours Catholique – Antenne Châtillons-Reims.
Du 7 janvier au 19 mars 2010
« Instants » Antonella Bussanich Installation-vidéo
en collaboration avec l’atelier de création du Cafégem …Voir plus…
Les spectacles
Vendredi 8 octobre 2010 à 19 h
Théâtre « 20 novembre »
de Lars Norèn par la Compagnie La Tramédie
Jeudi 23 septembre 2010 à 18 h 30
Cabaret-théâtre « L’escargot insatisfait »
de Marine Mane Compagnie La Tramédie
Samedi 10 juillet 2010 à 18 h
Concert DDD (distrait, décoiffé, déconcertant)
Duo acoustique voix guitare, rock and folk avec Yasmina Shanoune (chant) et Olivier Fourcade (guitare, voix)
Jeudi 6 mai 2010 à 18 h 30
Petit cabaret musical (pop)
avec Pierre Boussetta (guitare) et Jackie Deschamps (chant)
Les lectures
17 décembre 2010 à 18 h
Christine Bruneau lit « Paralipomènes » de Gherasim Luca
Dans ses poèmes, Lucas est cet homme sans cesse qui bute sur les mots comme on s’abime de pièges en pièges. Il broie de la pensée comme d’autres du noir, mais dans ses proférations, il y a place aussi pour le rire, le foudroiement. Place également pour le désir, l’amour, la passion. Oui, le petit personnage noir qui animait le silence prophétisé par effraction. Il était l’oxygène des nerfs et du cœur partant de lourde asphyxie. Il était un éveilleur qui, simplement, se présentait comme un sonneur de cloches et annonçait : nous allons devenir la proie de l’ombre.
Henri Velter, le Monde
25 novembre 2010 à 18 h 30
Lecture-rencontre dans le cadre de – L’été en automne – présenté par Didier Lelong de la Compagnie Facteur Cheval, en présence de l’auteur et comédien Eugène Durif.
« Petit homme de bois » Eugène Durif
Lecture-rencontre dans le cadre de – L’été en automne –
présenté par Didier Lelong de la Compagnie Facteur Cheval,
en présence de l’auteur et comédien Eugène Durif.
Auteur et comédien, il écrit pièces de théâtre, récits, poèmes, nouvelles et pour la radio.
Il parle peu. Il parle pas. Lunette ronde et petit rire gêné, Eugène Durif tient plus du savant lunaire et rêveur. Un peu partout, ses textes fragiles et insidieux laissent dans les mémoires des traces d’enfance, réveillent des émotions à peine formulées, traquent doucement nos histoires intimes à travers les sentiers mystérieux de la grande Histoire.
5 novembre 2010 à 18 h
Lecture rencontre avec l’auteur Anne Mulpas à l’occasion de la parution de ses livres « Il n’y a pas d’ange« , « La fille du papillon » et « Web Dreawer » aux éditions La Sarbacane
« Web Dreawer » Anne Mulpas
Lecture rencontre avec l’auteur Anne Mulpas
à l’occasion de la parution de ses livres « Il n’y a pas d’ange », « La fille du papillon » et « Web Dreawer » aux éditions La Sarbacane.
Poète, Anne Mulpas est nait à Reims et vit aujourd’hui à Paris.
Les mots sont pour elle un laboratoire d’expérimentation où naissent des formes variées : théâtre, poèmes, romans, albums jeunesse. En parallèle, elle anime des ateliers d’écriture.
Avec le metteur en scène Benjamin Duval, elle dirige NOOB, une compagnie qui interroge les correspondances entre art et nouveaux médias.
A découvrir sur internet : Enna Sarum, son double numérique, une poupée de porcelaine qui chemine et pose son regard poétique sur la dentelle du monde : Compagnie Noob
29 octobre 2010 à 18 h 30
Lecture théâtre, Daniella Andriotta
lit Lars Norens Compagnie La Tramédie
« Le 20 novembre » de Lars Norén
Compagnie La Tramédie Mise en scène : Marine Mane avec Daniela Andriuta
« Lars Norén a écrit ce texte suite à l’assassinat de 30 personnes le 20 novembre 2006 par un ancien élève, dans un lycée en Westphalie. »
« Pourtant cela ressemble à un poème, il y a une tentative de la part de l’auteur à plonger sans jugement dans le désespoir de ce jeune homme. C’est un théâtre qui ne demande pas de stylisation ni de « savoir-faire ». Il est au plus juste, au plus proche du cerveau humain. »
« J’ai choisi pour l’interpréter une jeune femme, une très jeune comédienne, non pas pour créer une distance, au contraire, mais parce que cette voix est celle du plus grand nombre. »
« C’est une voix de l’abîme et j’avais le désir que le spectateur éprouve cette étonnante contradiction de faire confiance à une voix, à un corps parce qu’il est fragile, féminin, joli alors que c’est de ce physique là que sort la violence. »
28 mai 2010 à 18 h 30
Vincent Parot lit « Ella » de Herbert Achtenbusch
Vincent Parot lit Ella de Herbert Achtembusch
Vincent Parot a joué lors des années 90 « Ella » de Herbert Achtembusch, dans une mise en scène de Michel Berg. Ce texte l’avait profondément marqué et bouleversé. Aujourd’hui, quelques 20 ans après, il se propose de le revisiter en le donnant à entendre lors d’une lecture d’extraits choisis tout particulièrement pour les auditeurs du Cafégem.
Né en 1938 à Munich, peintre de formation, Herbert Achtembusch est écrivain et cinéaste. Auteur subversif, ses œuvres tantôt anarchistes, tantôt surréalistes, ne sont guère connues du grand public, si ce n’est par les scandales provoqués, tant par la forme novatrice, expérimentale parfois, que par sa critique sans concessions de l’État et de l’Église, de la société et de la religion.
Vincent Parrot – Le site de Bords 2 Scène
21 mai 2010 à 18 h 30
« Gloire à la liberté » d’Alain Baroteaux. Editions « Cafégem »
Lecture d’extraits par Safia Menacer
avec une lecture d’extraits par Safia Ménacer
A la Médiathèque Croix-Rouge (rue Jean-Louis Debar)
Alain Baroteaux est infirme moteur cérébral de naissance. Dans un texte bref, sobre et non dépourvu d’humour, il témoigne de sa vie placée sous le signe du handicap, de la stigmatisation empoisonnant la moindre tentative, du découragement et du désespoir toujours plus proches et toujours rebutés, de l’incessant combat mené pour agir et parler par et pour soi-même.
Il nous a semblé nécessaire de publier ce témoignage dont chaque ligne est une invitation à se mettre en chemin vers la liberté.
Bernard Weber
30 avril 2010 à 18 h 30
Jean-Michel Guérin
lit « Les vies minuscules » (le père Foucault) de Pierre Michon
« Je n’ai pas besoin d’inventer des vies, des personnages. Il y a suffisamment de gens qui sont morts et qui attendent que l’on parle d’eux… Lorsque j’écris, je pense toujours au mythe de la résurrection des corps dans le christianisme. J’anticipe le jour du Jugement dernier. Ces hommes qui ont eu de la chair… je m’efforce de les faire revivre. Qu’ils se lèvent, qu’ils sortent du tombeau… pour changer leur viande morte en texte, leur échec en or. Une fois de plus. »
Pierre Michon
Pierre Michon – vies minuscules
26 février 2010 à 18 h 30
Christine Bruneau
lit « Bureau de tabac« , poèmes et autres textes de Fernando Pessoa
Fernando António Nogueira Pessoa est un écrivain et un poète portugais, né en 1888 à Lisbonne, où il meurt en 1935. Prolifique et protéiforme, Pessoa est un auteur majeur de la littérature de langue portugaise et de la littérature mondiale (il est traduit dans un grand nombre de langues, des langues européennes au chinois). Il crée une œuvre poétique multiple et complexe sous différents hétéronymes en sus de son propre nom : Alberto Caeiro, qui incarne la nature et la sagesse païenne ; Ricardo Reis, l’épicurisme à la manière d’Horace ; Alvaro de Campos, le « modernisme » et la désillusion ; Bernardo Soares, auteur du “Livre de l’intranquillité”, est considéré par lui comme son semi-hétéronyme, plus proche de l’auteur orthonyme. Il signe aussi quelques textes en prose sous son propre nom, comme “Le Banquier anarchiste”. L’hétéronymie deviendra sa façon d’être.
À sa mort, on découvrit 27 543 textes enfouis dans une malle que l’on a exhumés peu à peu. “Le Livre de l’ intranquillité” n’a été publié qu’en 1982 et son “Faust” en 1988.
en 2009
Les expositions et ateliers
Du 11 décembre 2008 au 31 janvier 2009
« Lumière » Installation in situ gravure sur plexiglas en collaboration avec Armelle Blary (plasticienne) et le collectif de création du Foyer de l’Amitié
Du 2 au 9 juillet 2009
« Attention, peinture, s’il vous plait » En collaboration avec le groupe Autrement et Jean Bigot
Exposition du 02 au 09 juillet 2009
Vernissage le 02 juillet à 18 h 30 au Cafégem
La rencontre entre l’artiste plasticien Jean Bigot et l’atelier « Autrement », l’histoire d’un cheminement singulier à travers la peinture, entre soin thérapeutique et ouverture sur la cité.
Participants :
Jean Bigot et le groupe « Autrement »
Coproduction CMP CATTP Van Gogh et Cafégem
Voir en ligne : Site de Jean Bigot
Du 28 mai au 25 juin 2009
« Points de vue » Installation-exposition en collaboration
avec Christian Lapie et les arpenteurs du Cafégem
Les figures de Christian Lapie ont l’évidence des stèles et des signes dressés sur la terre : elles ouvrent, déploient et déplient l’espace qu’elles nous révèlent ; elles nous invitent à voir et nous accueillent en ces lieux, les points de vue, par où le visible advient. Nous nous sommes donc interrogés par les moyens de la photographie, de l’écriture et de la parole sur les métamorphoses du regard qu’engendre la confrontation avec des figures érigées comme celles de Christian Lapie.
Il en résulte une installation à laquelle une pièce obligeamment prêtée par l’artiste donne son centre de gravité et propose, à nouveau, un point de vue
Voir en ligne : Site de Christian Lapi
Du 25 avril au 26 mai 2009
« Architectures volubiles » Installation-exposition des miniatures d’Hervé Boissy
Je n’ai jamais appris à dessiner
En novembre 1986, alors que je me trouvais dans un centre de post-cure dans le Bas Jura, pensionnaire et guéri de l’alcoolisme, je me suis mis machinalement, le soir dans la chambre où nous étions trois, à dessiner au stylo feutre sur des feuilles qu’en ce moment là j’avais à ma disposition ; je travaillais à l’atelier d’imprimerie du centre.
A mon retour, j’ai fêté en famille Noël et le nouvel An. Quelques jours après, m’étant aperçu que ma mère possédait des fiches bristol je lui demandai de m’en céder quelques unes. C’est avec ces petits formats que j’ai commencé à expérimenter des formes miniatures. C’était en janvier 87. Un peu plus tard, je donnais des titres à mes petites productions.
Durant cette année j’avais continué à dessiner, tâchant d’améliorer mon style, un style qui commençait à s’affirmer et à bourgeonner. J’achetai mon premier stylo à encre de Chine.
Il y eut ensuite une trou de plusieurs mois.
Et puis dès octobre 88, renaissant à moi-même, je me remis à dessiner et ce fut la découverte du paysage. Mes titres étaient désormais plutôt inspirés par la Nature.
Et ainsi de tentatives en échecs et de rebonds en reprises, m’efforçant toujours à plus de beauté, j’ai évolué vers un style véritablement singulier.
Je ne suis pas un artiste et ne le serai jamais, mais j’ai compris qu’en m’adonnant à ce que considère comme un passe-temps, j’atteins une source intarissable d’idées fécondes et je côtoie quelque chose de très grand et qui me dépasse.
Hervé Boissy
Du 14 mars au 30 avril 2009
« Ciels » Exposition de photographies Annick Ottenwaelter
« Des pays qu’elle traversait il me reste une image flottante, pareille à celle que pourrait laisser, plutôt qu’une terre ferme, avec tout ce que le mot implique de précis, de mesurable et de délimité, le souvenir par exemple d’un ciel de nuage avec ses masses confuses et brouillées, sa dérive lente au fil des heures, la montée de signes de ses ombres d’orage et cette manière rapide qu’il a de virer tout entier du clair au sombre. »
Julien Gracq, La Presqu’île.
Les spectacles
Vendredi 6 novembre 2009 à 19 h
« Mathilde émois » par Loïc Brabant.
Cabaret-théâtre
Samedi 24 octobre 2009 à 19 h
« Le mariage forcé » de Molière
par la Cie Le diable à quatre pattes
Vendredi 26 juin 2009 à 19 h
« Merry Christmas » Comedia dell’arte
Coproduction Association Trouble-fête et Cafégem
Jeudi 2 avril 2009 à 19 h
« Cong cong cong » avec Laurence Masterlen et Katia Petrowick
Samedi 21 février 2009 à 18 h
Repas-concert avec Douaint (folk pop)
Lectures
27 novembre 2009
Loïc Brabant lit « Les Buddenbrook » de Thomas Mann
Originaire d’une vieille famille de négociants et de patriciens hanséatiques, installés à Munich après la mort du père (1891) et la liquidation de l’affaire familiale, Thomas Mann publie en 1901 son premier roman, « Les Buddenbrook ». Roman du déclin d’une famille et d’une société, c’est aussi une variation sur un thème central de son œuvre : les rapports entre l’art et la vie, l’artiste et la société bourgeoise. Thomas Mann, prix Nobel de littérature, est l’auteur notamment de « La montagne magique » et de « La mort à Venise ».
30 octobre 2009
Florence Rouillon lit « Les lettres de la religieuse portugaise » du Sieur de Guillerargue
La religieuse portugaise, écrit à son amant français, qui l’a abandonnée, cinq lettres où s’expriment dans la plus belle langue du monde toutes les passions de l’amour le plus extrême. Longtemps anonymes, publiées en 1669 chez Claude Barbin, ces lettres sont de la main du Sieur de Guillerargue.
5 juin 2009
Christine Berg lit « La correspondance » de Gustave Flaubert
« À Louise Colet. Il faut t’aimer pour t’écrire ce soir, car je suis épuisé. J’ai un casque de fer sur le crâne. Depuis deux heures de l’après-midi (sauf 25 minutes à peu près pour dîner), j’écris de la Bovary. Je suis à leur baisade, en plein, au milieu. On sue et on a la gorge serrée. »
27 février 2009
Lecture spectacle « Les illuminations« , extraits d’Arthur Rimbaud par Christine Bruneau
» Le monde a soif d’amour, tu viendras l’apaiser »
Un coup de doigt sur le tambour décharge tous les sons et commence la nouvelle harmonie.
Ta tête se détourne : le nouvel amour ? Ta tête se retourne, – le nouvel amour ! »
Voir le texte : Les illuminations
En 2008
Les expositions et ateliers
Du 27 septembre au 29 novembre 2008
« Nuit&Jour » Installation sonore et expo photographique avec les promeneurs de juillet du Cafégem avec la collaboration artistique de Laurence Bastin et Simone Christ, prise de son, composition musicale : Rémi Letournelle, Charley Vecten …Voir plus…
Du 15 juillet au 15 septembre 2008
« Voyages autour de ma chambre » Exposition des peintures de Sandrine Giot …Voir plus…
Du 27 juin au 15 septembre 2008
« Morphose » Exposition des peintures de Laurent Hélie …Voir plus…
Du 15 mars au 30 mai 2008
« Le moment de création de Benoît » « Assonances Dissonances »
Exposition peintures – mobiles – bobines de Benoît Spriet …Voir plus…
Les spectacles
Vendredi 14 novembre 2008 à 18 h
« Un autre monde«
théâtre amateur Cernay Europe Compagnie Crocs en scène
Vendredi 6 juin 2008 à 20 h
« Il convivio dell palazzo«
Mise en scène Elodie Cottin
Jeudi 5 juin 2008 à 18 h
« Opera Soppio » (fragments urbains)
par les danseurs de la Cie Icosaèdre
Mardi 29 avril 2008 à 18 h 30
« La conjuration de la fourchette«
d’Edwige B par Elodie Cottin
Samedi 26 avril 2008 à partir de 18 h 30
« Allusions, illusions«
soirée cabaret Allusion apéritive, repas allusif et spectacle d’illusions
Vendredi 18 janvier 2008 à 18 h 30
Concert avec les Maracasse-pieds (chansons)
Les lectures
Le 5 décembre 2008
« La leçon de musique » Pascal Quignard
31 octobre 2008
Françoise Jimenez lit « Lettres à ma fille » de Calamity Jane …Voir plus…
20 juin 2008
Elodie Cottin lit les pages d’un « Bestiaire fabuleux«
« Le croiras-tu, Ariane ? » dit Thésée,
« Le Minotaure s’est à peine défendu… »
Jorge Luis Borges, l’Aleph, 1949
30 mai 2008
Gisèle Torterolo et Elena Abascal lisent Rodrigo Garcia
Si je n’arrive pas à fermer l’œil de la nuit, bordel, autant que ce soit à cause d’un tableau de Goyave et non à cause d’une bagnole que je ne peux pas me payer ni parce que j’ai bouffé de la viande froide en conserve et que j’en suis malade. Ni parce que je m’y suis encore pris trop tard pour les soldes et que j’ai raté le moins cher du pire alors qu’on a pas les moyens d’acheter autre chose.
25 avril 2008
Vincent Parot lit Jean Genet « L’atelier de Giacometti«
Je dis à Giacometti :
MOI – Il faut avoir le cœur bien accroché pour garder une de vos statues chez soi.
LUI – Pourquoi ?
J’hésite à répondre. Ma phrase va le faire se foutre de moi.
MOI – Une de vos statues dans une chambre, et la chambre du temple.
Il paraît un peu déconcerté.
LUI – Vous croyez que c’est bien ?
MOI – Je ne sais pas. Et vous, vous croyez que c’est bien ?
28 février 2008
Fabien Joubert lit Jean-Marie Le Sidaner, accompagné par W. Lipp
Aller de café en café, de square en square.
Laisser partout des ménages adressés à des gens mal définis :
» Femmes – cheveux châtains – portrait imperméable – «
Ou « Homme à lunettes – genre comptable – « .
Les confier à des barmen, des vieillards en balade.
Effectuer un assez long circuit.
Repasser voir s’il y a des réponses.
Quelquefois peut-être à la question :
» Me direz-vous qui vous êtes ? » : une adresse ou un objet :
peigne, médaille, tient lieu de réponse.
26 janvier 2008
Elodie Cottin lit Théophile Gautier
En 2007
Les expositions
Du 1er au 21 décembre 2007
« Figures libres » Expo Peintures Alain Maison Portraits croisés
par le peintre et six modèles du Cafégem …Voir plus…
Du 15 décembre 2007 au 15 janvier 2008
« Crèches du monde » (Doux Jésus !) exposition de 25 crèches …Voir plus…
Du 20 mai au 30 juin 2007
« Provignages » Expo Peintures de Thierry Pertuisot …Voir plus…
Les spectacles
Lundi 21 décembre 2007 à 18 h 30
Morisse, jazz
Mardi 6 octobre 2007 à 18 h 30
« Cantate de la cave »
Générale de la pièce par La compagnie La Tramédie
Jeudi 24 mai 2007 à 18 h 30
Musiques et chansons, François, Marie Eberlé
Les lectures
9 juin 2007
Lecture spectacle : « La morte amoureuse » de Théophile Gauthier
par Elodie Cottin et Michel Boy …Voir plus…
12 rue Passe-Demoiselles
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le samedi de 10h à 16h